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CLINIC ZONES 2025

CZ marseille juin 22i

COMPOSTFREUDIEN

Une quatrième blessure narcissique

Marseille, les 24 & 25 mai 2025
À La Maison de la Suisse
7, rue d'Arcole 13006 Marseille
Samedi de  9H à 18H et dimanche de 9H à 16H

PLACE PUBLIQUE & CONFÉRENCES 2025

Samedi 18 Janvier 2025

Ce travail sur Moïse est comparable à une danseuse faisant des pointes

Samedi 1er Février 2025

Le travail du rêve freudien comme production transindividuelle ?

Samedi 15 Mars 2025

Encore une fois... la poésie

Samedi 5 Avril 2025

La question de la sensation dans l'exercice de la psychanalyse

Samedi 14 Juin 2025

 Se défaire de la pensée straight

 à L'Agora, 64 Rue du Père Corentin 75014 Paris

de 9h à16h30

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Frère d'anonyme

Françoise Jandrot

in Revue de l'Unebévue N° 31 Inéchangeable et chaosmose I, p.103

 

artieres iVie et mort de Paul Geny, Philippe Artières, Seuil collection Fiction & Cie, 2013.

 

 

 

 

 

 

 

foucault iMichel Foucault, Dits et écrits 1977
La vie des hommes infâmes p.237

Ce n'est point un livre d'histoire. Le choix qu'on y trouvera n'a pas eu de règle plus importante que mon goût, mon plaisir, une émotion, le rire, la surprise, un certain effroi ou quelque autre sentiment, dont j'aurais du mal peut-être à justifier l'intensité maintenant qu'est passé le premier moment de la découverte.
C'est une anthologie d'existences. Des vies de quelques lignes ou quelques pages, des malheurs et des aventures sans nombre, ramassés en une poignée de mots. Vies brèves, rencontrées au hasard des livres et des documents. Des exempla, mais - à la différence de ceux que les sages recueillaient au cours de leurs lectures - ce sont des exemples qui portent moins de leçons à méditer que de brefs effets dont la force s'éteint presque aussitôt. Le terme de «nouvelle> me conviendrait assez pour les désigner, par la double référence qu'il indique : à la rapidité du récit et à la réalité des événements rapportés ; car tel est dans ces textes le resserrement des choses dites qu'on ne sait pas si l'intensité qui les traverse tient plus à l'éclat des mots ou à la violence des faits qui se bousculent en eux. Des vies singulières, devenues, par je ne sais quels hasards, d'étranges poèmes, voilà ce que j'ai voulu rassembler en une sorte d'herbier.
L’idée m’en est venue un jour, je crois bien, où je lisais à la Bibliothèque nationale un registre d'internement rédigé au tout début du XVIIIe siècle. Il me semble même qu'elle m'est venue de la lecture que j'ai faite des deux notices que voici.
Mathurin Milan, mis à l'hôpital de Charenton le 31 août 1707: « Sa folie a toujours été de se cacher à sa famille, de mener à la campagne une vie obscure, d'avoir des procès, de prêter à usure et à fonds perdu, de promener son pauvre esprit dans des routes inconnues, et de se croire capable des plus grands emplois.»
Jean Antoine Touzard, mis au château de Bicêtre le 21 avril 1701 : «Récollet apostat, séditieux, capable des plus grands crimes, sodomite, athée si on peut l’être ; c’est un véritable monstre d’abomination qu’il y aurait moins d’inconvénient d’étouffer que de laisser libre. »
Je serais embarrassé de dire ce qu'au juste j'ai éprouvé lorsque j'ai lu ces fragments et bien d'autres qui leur étaient semblables. Sans doute l'une de ces impressions dont on dit qu'elles sont « physiques » comme s'il pouvait y en avoir d'autres. Et j'avoue que ces « nouvelles », surgissant soudain à travers deux siècles et demi de silence, ont secoué en moi plus de fibres que ce qu'on appelle d'ordinaire la littérature, sans que je puisse dire aujourd'hui encore si m'a ému davantage la beauté de ce style classique, drapé en quelques phrases autour de personnages sans doute misérables, ou les excès, le mélange d'obstination sombre et de scélératesse de ces vies dont on sent, sous des mots lisses comme la pierre, la déroute et l'acharnement.
Il y a longtemps, pour un livre, j'ai utilisé de pareils documents. Si je l'ai fait alors, c'est sans doute à cause de cette vibration que j'éprouve aujourd'hui encore lorsqu'il m'arrive de rencontrer ces vies infimes devenues cendres dans les quelques phrases qui les ont abattues. Le rêve aurait été de restituer leur intensité dans une analyse. Faute du talent nécessaire, j'ai donc longtemps remâché la seule analyse ; pris les textes dans leur sécheresse ; cherché quelle avait été leur raison d'être, à quelles institutions ou à quelle pratique politique ils se référaient ; entrepris de savoir pourquoi il avait été soudain si important dans une société comme la nôtre que soient « étouffés » (comme on étouffe un cri, un feu ou un animal) un morne scandaleux ou un usurier fantasque et inconséquent ; j'ai cherché la raison pour laquelle on avait voulu empêcher avec tant de zèle les pauvres esprits de se promener sur les routes inconnues. Mais les intensités premières qui m'avaient motivé restaient au-dehors. Et puisqu'il y avait risque qu'elles ne passent point dans l'ordre des raisons, puisque mon discours était incapable de les porter comme il aurait fallu, le mieux n'était-il pas de les laisser dans la forme même qui me les avait fait éprouver ?

 

bambino 3 g iMarchi Bambino

Copyright : avec l'aimable autorisation de l'auteur

 

 

 

 

 

Le parlem, la langue non écrite du caporal Lortie

Marie-France Basquin

in Revue de l'Unebévue N° 31 Inéchangeable et chaosmose I, p.67

 

{gallery}stories/unebeweb/unebeweb31/parlem/langues:120:115:1:2{/gallery}Cartographie des traversées de Lortie, les frontières des langues

Denis Lortie se présente comme une sorte d'être nomade, il parcourt sa terre en tous sens, il revient plusieurs fois dans son enregistrement pour André Arthur sur la beauté de sa terre. Mais à aucun moment dans ses paroles ne sont cités les noms de lieux à consonance catholique si fréquents dans la province de Québec. Or ces noms voisinent constamment avec d'autres, témoins de l'époque de l'occupation anglaise, mais aussi ceux qui portent la trace sonore de leur appartenance aux populations indiennes autochtones qui vivent aujourd'hui dans des « réserves Avec une jubilation sensible dans son discours, Lortie convoque l'histoire de son pays. Il est comme habité par les peuples fantômes et les frontières successives qui ont marqué sa terre du Québec et du Canada, mais il passe sous silence les lieux chargés des symboles de la religion. Cette question des frontières est évoquée de manière insistante et pathétique dans la cassette à André Arthur. Denis Lortie réaffirme son amour du Québec et dans le même mouvement il exhorte ses compatriotes à voyager, sortir de la province, aller au Canada...

 

lortie2Message enregistré adressé à Lise Levesque, musique de l'intime

Mais c'est le message à Lise qui porte au plus haut point les modulations de ses émotions. C'est un lamento très tendre et lent. Les silences, longs, scandent les paroles, la voix s'éteint, les mots manquent, deviennent souffles et laissent deviner les pleurs. Au travers de ses paroles, le corps érotique de Lortie est devenu présence, mais sa voix disparaît... Lui-même s'efface subjectivement (c'est ici que devient particulièrement évidente la difficulté du travail de transcription). C'est aussi l'écoute de cet enregistrement qui suscite le plus cette évocation musicale par son rythme, son phrasé et l'extrême sensibilité de la tonalité sonore, pure matière sonore.

 

25Entretien de Pascal Dusapin avec F. Ansermet et P. Magistretti

Emission de la Fondation Agalma 31 janvier 2013

Né en 1955 à Nancy (France), Pascal Dusapin a étudié les arts plastiques et les sciences de l’art à l'Université de Paris-Sorbonne. Il a suivi les séminaires donnés par Iannis Xenakis entre 1974 et 1978, et a été chercheur à la Villa Médicis à Rome (1981-1983). Il a reçu de nombreux honneurs depuis le début de sa carrière, dont : en 1994, le Prix Symphonique de la SACEM ; en 1995 le Ministère français de la Culture lui a décerné le Grand Prix National de Musique, puis en 2002 la "Victoire de la Musique" en tant que "Compositeur de l'année". Il a reçu en 2005 le prix Cino del Duca de l'Académie française des Beaux-Arts. Élevé au rang de "Commandeur des Arts et des Lettres", élus à la Bayerische Akademie der Schönen Künste en juillet 2006 et nommé professeur au Collège de France pour tenir la chaire création artistique pour l'année 2006/2007. Il a composé de nombreuses pièces pour ensemble, pour orchestre et surtout pour solistes et musique de chambre.

 

chaosmose iChaosmose

« Dans les brumes et les miasmes qui obscurcissent notre fin de millénaire, la question de la subjectivité revient désormais comme un leitmotiv. Pas plus que l’air et l’eau, elle n’est une donnée naturelle. Comment la produire, la capter, l’enrichir, la réinventer en permanence de façon à la rendre compatible avec des Univers de valeur mutants ? Comment travailler à sa libération, c’est-à-dire à sa re-singularisation ?
La psychanalyse, l’analyse institutionnelle, le film, la littérature, la poésie, des pédagogies innovantes, des urbanismes et des architectures créateurs… toutes les disciplines auront à conjoindre leur créativité pour conjurer les épreuves de la barbarie, d’implosion mentale, de spasme chaosmique, qui se profilent à l’horizon et pour les transformer en richesses et en jouissances imprévisibles, dont les promesses, au demeurant, sont tout aussi tangibles. »
Félix Guattari

Chapitre 4 : La chaosmose schizo 110-111 p.
"Ce qui prime, en effet, dans le mode d'être de la psychose - mais aussi, selon d'autres modalités, dans celui du «soi émergent » de l'enfance (Daniel Stem) ou dans celui de la création esthétique - c'est l'irruption sur le devant de la scène subjective d'un réel «antérieur» à la discursivité dont la consistance pathique saute littéralement à la gorge. Doit-on considérer que ce réel s'est figé, pétrifié, est devenu catatonique par accident pathologique, ou bien qu'il était là de tout temps - passés et futurs - à l'affût d'une mise en acte à titre de sanction de la forclusion d'une castration symbolique présumée? Peut-être est-il nécessaire d'enjamber ces deux perspectives : il était déjà là, comme référence virtuelle ouverte et il surgit, corrélativement, en tant que production sui generis d'un événement singulier.
Les structuralistes ont été trop hâtifs en positionnant topiquement le Réel de la psychose par rapport à l'Imaginaire de la névrose et au Symbolique de la normalité. Qu'ont-ils gagné à cela? En érigeant des mathèmes universels du Réel, de l'Imaginaire et du Symbolique, considérés d'une pièce chacun pour eux-mêmes, ils ont réifié, réduit la complexité de l'enjeu, à savoir la cristallisation d'Univers réels-virtuels, agencés à partir d'une multiplicité de Territoires imaginaires et sémiotisés par les voies les plus diverses. Les complexions réelles - celles par exemple de la quotidienneté, du rêve, de la passion, du délire, de la dépression et de l'expérience esthétique ne sont pas les unes et les autres de même couleur ontologique. En outre, elles ne sont pas subies passivement, ni articulées mécaniquement ou triangulées dialectiquement à d'autres instances. Une fois franchis certains seuils de consistance autopoïétiques, elles se mettent à travailler à leur propre compte, constituant des foyers de sub-jectivation partielle. Soulignons que leurs instruments expressifs (de sémiotisation, d'encodage, de catalyse, de moulage, de résonance, d'identification) ne se ramènent pas à une seule économie signifiante. La pratique de la psychothérapie institutionnelle nous a enseigné la diversité des modalités d'agglomération de ces multiples stases réelles ou virtuelles: celles du corps et du soma, celles du moi et de l'autre, celles de l'espace vécu et des ritournelles temporelles, celles du socius familial et du socius artificiellement élaboré pour ouvrir d'autres champs de possible, celles du transfert psychothérapique ou encore celles d'Univers immatériels afférents à la musique, aux formes plastiques, aux devenirs animaux, végétaux, machiniques..."

Chapitre 4 : La chaosmose schizo 112-113 p. "Ici un sens d'être en soi s'impose en deça de tout schème discursif, uniquement positionné à travers un continuum intensif dont les traits de distinctivités ne sont pas saisissables par un appareil de représentation mais par une absorption pathique existentielle, une agglomération pré-moïque, pré-identificatoire. Tandis que le schizophrène est comme installé au plein centre de cette béance chaotique, le délire paranoïaque manifeste une volonté sans limite d'en prendre possession. De leur côté, les délires passionnels (Sérieux, Capgras et de Clérambault) marqueraient une intentionnalité d'accaparement de la chaosmose moins fermée, plus processuelle. Les perversions impliquent déjà la recomposition signifiante de pôles d'altérité auxquels il est imparti d'incarner de l'extérieur une chaosmose maîtrisée, téléguidée par des scénarios fantasmatiques. Quant aux névroses elles présentent toutes les variantes d'évitement, précédemment évoquées, à commencer par la plus simple, la plus réifiante, celle de la phobie, en continuant par l'hystérie qui en forge des substituts dans l'espace social et le corps pour finir par la névrose obsessionnelle qui sécrète à son égard une perpétuelle «différance » (Derrida) temporelle, une infinie procrastination."

Chapitre 5 : L'oralité machinique et l'écologie du virtuel 123-125 p.

"Déjà Freud montrait que des objets simples comme le lait ou la merde supportaient des Univers existentiels fort complexes, l'oralité, l'analité, tressant des façons de voir, des symptômes, des fantasmes... Et on se rappelle une des premières distinctions lacaniennes entre la parole vide et la parole pleine. Mais pleine de quoi? Pleine de dedans et de dehors, de lignes de virtualités, de champs de possible. Parole qui n'est pas un simple médium de communication, agent de transmission d'information, mais qui engendre de l'être-là, parole interface entre l'en-soi cosmique et le pour-soi subjectif.
La parole se vide lorsqu'elle est passée sous la coupe de sémiologies scripturales ancrées dans l'ordre de la loi, du contrôle des faits, gestes et sentiments. La voix de l'ordinateur - « Vous n'avez pas attaché votre ceinture » - laisse peu de place à l'ambiguïté. La parole ordinaire s'efforce au contraire de conserver vivante la présence d'un minimum de composantes sémiotiques dites non verbales, où les substances d'expression constituées à partir de l'intonation, du rythme, des traits de visagéïté, des postures, se recoupent, se relaient, se superposent, conjurant par avance le despotisme de la circularité signifiante. Mais au supermarché le temps n'est plus à la palabre pour apprécier la qualité d'un produit ni au marchandage pour en fixer le juste prix. L'information nécessaire et suffisante a évacué les dimensions existentielles de l'expression. Nous ne sommes pas là pour exister mais pour accomplir notre devoir de consommateur.
L'oralité constituerait-elle un pôle refuge de la polyvocité sémiotique, une reprise en temps réel de l'émergence du rapport sujet-objet? A dire vrai une opposition trop marquée entre l'oral et le scriptural ne me paraîtrait guère pertinente. L'oral le plus quotidien est surcodé par le scriptural; le scriptural le plus sophistiqué est travaillé par l'oral. Nous partirons plutôt des blocs de sensations composés par les pratiques esthétiques en deçà de l'oral, du scriptural, du gestuel, du postural, du plastique... qui ont pour fonction de déjouer les significations collées aux perceptions triviales et les opinions imprégnant les sentiments communs. Cette extraction de percepts et d'affects déterritorialisés à partir des perceptions et des états d'âme banals nous fait passer de la voix du discours intérieur et de la présence à soi, dans ce qu'ils peuvent avoir de plus standardisé, à des voies de passage vers des formes de subjectivité radicalement mutantes. Subjectivité du dehors, subjectivité du grand large, qui loin de redouter la finitude, l'épreuve de vie, de douleur, de désir et de mort, les accueille comme un piment essentiel à la cuisine vitale.
L'art de la performance livre l'instant au vertige de l'émergence d'Univers à la fois étranges et familiers. Il a le mérite de pousser à l'extrême les implications de cette extraction de dimensions intensives, a-temporelles, a-spatiales, a-signifiantes à partir du maillage sémiotique de la quotidienneté. Il nous colle le nez sur la genèse de l'être et des formes avant qu'elles ne se prennent les pieds dans les redondances dominantes, y compris celle des styles, des écoles, des traditions de la modernité. Mais cet art me paraît moins relever d'un retour à une oralité originaire que d'une fuite en avant dans les machinations et les voies machiniques déterritorialisées capables d'engendrer ces subjectivités mutantes. Je veux dire par là qu'il y a quelque chose d'artificiel, de construit, de composé - ce que j'appelle une processualité machinique - dans la redécouverte de l'oralité par la poésie sonore. D'une façon plus générale, tout décentrement esthétique des points de vue, toute démultiplication polyphonique des composantes d'expression passent par le préalable d'une déconstruction des structures et des codes en vigueur et par une plongée chaosmique dans les matières de sensation. A partir d'elles redeviendra possible une recomposition, une recréation, un enrichissement du monde (un peu comme on parle d'uranium enrichi), une prolifération non seulement des formes mais des modalités d'être. Donc pas d'opposition manichéiste et nostalgique du passé entre une bonne oralité et une méchante scripturalité, mais recherche de foyers énonciatifs qui instaureront de nouveaux clivages entre d'autres dedans et d'autres dehors et qui promotionneront un autre métabolisme passé-futur à partir duquel l'éternité pourra coexister avec l'instant présent."

denis lortie 8.05.1984Dernier geste

 Lortie aura ici le dernier mot, plutôt le dernier geste, lui qui, en signe de reddition, après son acte meurtrier et l'intervention du major Jalbert, au Parlement, jette à terre les armes, c'est-à-dire, SON DENTIER. Il nous aura enseigné comment la langue est aux prises avec le corps, comment elle s'incarne jusqu'à l'affolement.


 

 

Le crâne de Lacan

Voyage anomalique dans les archives de la psychanalyse

Mayette Viltard

in Revue de l'Unebévue N° 31 Inéchangeable et chaosmose I, p.123

 

 

S06 iQuand la réalité valide la fiction, Didier Daeninckx, in Superflux N°6, p. 123 & suivantes

 

 

 

 

 

 

crane i136 ans après sa mort, le crâne du chef kanak Ataï restitué à sa famille

 

 

 

 

31i

L'Unebévue N°32 : Inéchangeable et chaosmose II

Désarticuler le discours succube du signifiant

 L'Unebévue novembre 2014, ISBN : 978-2-914596-48-0, ISSN : 1168-148X, 187 pages, 22€.

Comité nomade : Françoise Jandrot, Anne Marie Ringenbach, Colette Piquet.

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Minutes de la corniche, p39. Marie Jardin

 

 

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